Complétez cette délicieuse recette pour un gâteau à la vanille avec les mots suivants :

heat, grease, parchment, flour, mixing bowl, spoon, mixer, batter, tin, cooked, golden

Graphique, flèche, camembert... Connaissez-vous les mots qui vous aideront à faire une présentation en anglais ? Ce quiz est extrait de notre coffret audio Walk & Talk

Choisissez le modal qui convient dans le dialogue ci-dessous

Quelles sont les fautes les plus courantes des Français ? Reformulez les phrases ci-dessous de manière à ce qu'elles soient correctes

Ces phrases sont-elles correctes sur le plan grammatical ?

À 42 ans, Rishi Sunak devient le plus jeune Premier ministre de l'Histoire contemporaine du Royaume-Uni. Jusqu’ici plutôt populaire et apprécié, "Dishy Rishi" va-t-il réussir à redorer l’image d’un parti conservateur en crise ? Découvrez dans ce reportage vidéo en V.O. les étapes de sa vie personnelle et politique qui l’ont mené à poste en Octobre dernier, et testez votre compréhension.

San Francisco n’est pas une ville comme une autre. À la fois symbole de culture et d’engagement politique, elle est aussi aujourd’hui fortement imprégnée par le monde de la tech qui règne dans la Silicon Valley. Au croisement de nombreuses identités et influences, San Francisco est une ville où chaque quartier raconte une histoire unique. Un incontournable de la Californie ! Découvrez-en plus sur l’histoire de la ville dans ce guide en V.O. proposé par National Geographic, et testez votre compréhension.

Article sponsorisé.

Pour parler une langue étrangère et s’immerger dans une culture, partir à l’étranger dans le pays est l’une des meilleures options pour gagner en confiance et améliorer son niveau. Où peut-on aller en toute sérénité ? Pour quel séjour opter ? Interview d’Adeline Prévost, Quality & Communication Manager chez EF Education First

Vocable : Comment choisir le séjour linguistique le mieux adapté à sa personnalité ?

Adeline Prévost : D’abord, on définit son objectif. Est-ce que l’étudiant veut avant tout découvrir une autre culture, prendre des vacances en même temps, travailler à côté ? Connaître les ambitions du participant aide à dessiner les contours du séjour ; le rôle du conseiller EF est justement d’accompagner le jeune à choisir sa destination en adéquation avec ses envies. Par exemple, Los Angeles fait rêver sur le papier, mais cette ville ne convient pas à tout le monde.

Si le participant veut partir au Royaume-Uni, on le renseigne sur nos écoles de langue en Angleterre et en Irlande à Dublin. Nous informons aussi les étudiants des conditions pratiques sur place. On ne peut pas travailler de façon légale aux Etats-Unis comme en Irlande par exemple. Et si l’on veut faire du bénévolat à l’étranger ou une mission humanitaire, mieux vaut opter pour l’Afrique du Sud ou le Costa Rica.

V. : Avez-vous constaté un après-pandémie ?

A.P. : Après les nombreux confinements, les départs à l’étranger ont connu un pic et on constate une nouveauté : les jeunes veulent aller de plus en plus loin. Pendant les vacances de Toussaint, un groupe est parti aux États-Unis, ce qui n’était jamais arrivé auparavant. Le Brexit, lui aussi, a engendré un changement. Puisqu’il faut désormais un visa pour aller au Royaume-Uni et faire des démarches administratives, les étudiants se disent "autant partir loin".

V. : La crise sanitaire a-t-elle eu un impact sur l’apprentissage des langues ?

A.P. : Le niveau d’anglais a baissé après la pandémie. L'EF EPI (English Proficiency Index) qui est un indice de maîtrise de l’anglais qui a permis à EF d’analyser les données de 2,1 millions de locuteurs non-natifs dans 111 pays du monde, classe la France à la 34e place pour l’année 2022-2023, derrière l’Italie et l’Espagne. La France est à la traîne par rapport à ses voisins européens.

V. : Est-ce possible d’allier plaisir et cours de langues ?

A.P. : Notre concept de colonies de vacances destinées aux jeunes entre 7 ans et 18 ans répond à ces deux conditions. On apprend une langue tout en profitant d’activités, avec un référent francophone sur place. Les colonies se déroulent pendant les vacances scolaires entre 2 à 4 semaines dans plus de 50 destinations.

Nous proposons des destinations proches comme l’Angleterre avec Eastbourne, Bournemouth et Hastings ou encore Malte, mais aussi plus lointaines comme l’Australie, le Canada, le Japon et la Corée, en lien avec l’engouement pour la K-pop et le manga. Nos séjours à thème permettent de personnaliser le séjour. Par exemple, pour les adeptes de football, les cours d’anglais se font au stade. Et il y en a pour tous les goûts car nous avons des camps de sports nautiques, d’équitation, de jeux vidéo, de pratiques artistiques, etc.

V. : Et si on a peur de partir en groupe ?

A.P. : Les séjours en individuel sont proposés pour les jeunes à partir de 16 ans. Là encore, il est possible de personnaliser son séjour en ciblant ses thèmes de prédilection. L’étudiant peut faire de l’histoire de l’art tout en apprenant une nouvelle langue, améliorer l’anglais des affaires, cibler son apprentissage sur un secteur en particulier comme le tourisme.

Nos campus universitaires à Boston, Los Angeles, Oxford, et d’autres accueillent également les mineurs qui partent seuls.

V. : Le séjour linguistique est-il la garantie d’un progrès en langue ?

A.P. : Chez EF, on garantit la progression du niveau toutes les six semaines. Chaque étape est basée sur le Cadre européen de référence pour les langues (CECRL). Nos écoles collaborent avec les universités les plus prestigieuses. Dans une même classe, les élèves issus de différents horizons apprennent ensemble avec des professeurs qui vivent sur place.

Nous enrichissons aussi nos méthodes grâce à de nouveaux logiciels d’apprentissage en immersion, comme Hyper class avec lequel l’étudiant plonge virtuellement dans un train, un avion...

L’application EF Campus Connect permet aussi d’avoir accès aux cours et à son compte personnel avant, pendant et après le séjour.

V. : Comment financer son voyage ?

A.P. : D’abord, avec ses deniers personnels. L’étudiant peut aussi se renseigner pour recevoir des aides publiques ou faire un emprunt, surtout pour un séjour entre 6 à 9 mois. Enfin, pour les professionnels, le Compte Personnel de Formation peut financer leur projet.

V. : EF est aujourd’hui leader mondial des séjours linguistiques : comment concilier voyage et respect de l’environnement ?

A.P. : C’est possible. Nous avons un programme Hello Zéro dont l’objectif est de devenir à terme neutre en carbone, comme par exemple avec nos projets de reforestation, nos séjours autour de l’écologie et du ramassage des déchets. Enfin, nous n’avons plus de projets avec les animaux en dehors de leur environnement naturel et - depuis 2021, nous sommes négatifs en carbone, cela veut dire que l’on absorbe plus d’émissions qu’on n'en produit.

En savoir plus

EF Education First
téléphone : +33 (0)1 42 61 46 26
site internet : www.ef.fr

Les destinations pour un voyage linguistique se comptent par dizaines. Difficile de faire son choix. Vocable vous propose un petit match entre New-York et Londres, deux villes proposées par Kaplan International. Alors, Times Square ou Piccadilly Circus ? Base-Ball ou Football ? Yellow taxi ou Black cab ? Cookie ou Biscuit ?

Combien ça coûte ?

À Londres, le coût de la vie est 42 % plus cher qu’en France. Pour ne pas vous ruiner en transports en commun, utilisez le vélo, d’autant que la ville dispose d’un système de location très efficace. Côté culture, Londres est la championne de la gratuité : il ne vous en coûtera pas une livre pour visiter les prestigieux musées de la ville. À New York, la vie est 58 % plus chère qu’en France. En attendant le jour lointain où les deux continents seront reliés par un tunnel ou un pont transatlantique, il faudra aussi prendre l’avion pour s’y rendre. Les billets représentent un coût important à ajouter au prix du séjour. Aussi, l’Angleterre restera une destination plus économique.

Avantage : Londres

Que voir, sur place ?

Au classement du patrimoine mondial de l’Unesco, Londres est mieux lotie avec 4 sites : la Tour de Londres, Maritime Greenwich, l’abbaye de Westminster et les jardins de Kew. New York n’a qu’un seul site classé : la Statue de la Liberté. Certes, New York a moins de "vielles pierres" ou de sites historiques, mais elle est un livre ouvert sur l’architecture du XXe siècle. Son pouvoir d’attraction est immense et son activité intense : elle n’est pas surnommée pour rien "la ville qui ne dort jamais". Afin de ne froisser aucune ville, nous déclarons un match nul pour cette manche.

Peut-on se mettre au vert ?

Pour réviser ses leçons, quoi de mieux qu’un peu de nature ? Avec ses 3,4 hectares, Central Park est le poumon vert de New York. Sa faune et sa flore réservent de belles surprises. La High Line, ancienne voie ferrée aérienne reconvertie en parc suspendu, offre une magnifique promenade permettant de découvrir la richesse architecturale de Manhattan. À Londres, les habitants disposent de 170 hectares d’espaces verts, répartis dans près de 25 parcs. Il est donc beaucoup plus facile de s’évader de la jungle urbaine pour s’offrir un shoot de verdure. Avec 40 % d’espaces verts contre 14 % à New York, la capitale anglaise remporte la manche haut la main.

Avantage : Londres

L’emplacement des écoles ?

À Londres, Kaplan International dispose de deux écoles. La première, à Covent Garden, où règne une atmosphère de village, accueille les élèves dès 16 ans pour une moyenne d’âge de 23 ans. La seconde se situe dans le quartier animé de Leicester Square et la moyenne d’âge tourne autour de la trentaine. À New York, les deux écoles se trouvent en plein cœur de Manhattan. L’une dans le quartier branché de Soho, l’autre dans l’immeuble le plus mythique au monde : l’Empire State Building ! Au 63e étage du building, vous aurez la tête dans les nuages et une vue imprenable sur la ville.

Avantage : New York

Quel programme choisir ?

Les écoles londoniennes de Kaplan proposent un programme en deux temps : quatre semaines minimum de cours d’anglais, suivies d’un stage de quatre semaines dans une entreprise du secteur de votre choix (tourisme, architecture, marketing, finance, etc.). Vous pourrez ainsi directement mettre à profit vos connaissances dans le monde professionnel. Les écoles new-yorkaises, quant à elles, vous permettront de préparer les examens standardisés (Toefl, GMAT, GRE) afin, par exemple, d’intégrer ensuite une université américaine.

Égalité : aucun programme n’est "meilleur" qu’un autre. Prenez simplement le temps d’étudier lequel vous conviendra le mieux.

Quel temps fait-il chez vous ?

Certes, parler de la pluie et du beau temps est plutôt réservé aux conversations de machine à café. Mais un séjour peut vite être gâché par le mauvais temps en continue. En matière de météo, le match est serré. Il fait en moyenne 11° à Londres contre 12,7° à New York. Contre toute attente, la Grosse Pomme affiche 121,9 jours de pluie par an, soit 5 de plus que Londres. Toutefois, New York dispose de plages et son célèbre front de mer, Coney Island, est accessible en métro.

Avantage : New York

Résultat du match : sans surprise, c’est une égalité

Chacune des deux villes possède ses points forts et ses points faibles. Avant de vous décider pour un séjour linguistique à Londres ou un séjour linguistique à New York, à vous de voir laquelle des deux métropoles correspondra le mieux à votre caractère, à vos envies et, surtout, à vos objectifs linguistiques.

Camille Larbey

Organiser un voyage pour apprendre l’anglais, l’allemand ou l’espagnol a un coût, mais il existe des astuces peu connues pour partir à petit prix. Suivez les conseils de Move and Study qui traque les taux de change pour influer sur les tarifs de vos séjours linguistiques !

Choisir le meilleur moment pour réserver

Savoir rester flexible fait partie des premiers conseils que l’on vous donnera si vous souhaitez faire des économies. Les prix proposés par les compagnies aériennes varient selon la période de l’année mais aussi selon que vous voyagerez en semaine ou le week-end. Mais quand on parle de flexibilité, il faut aussi rester attentif aux taux de change. "D’un jour à l’autre, vous pouvez perdre ou gagner plus de 100 €", affirme Ludovic Damoiseau, directeur de Move and Study.

Des meilleurs prix depuis le Brexit

Depuis le vote du 23 juin 2016 en faveur du Brexit, la fluctuation et la chute de la livre ont eu des conséquences sur les tarifs proposés. "C’était flagrant le jour du vote, le matin, la valeur de la livre était à 1,41 et le soir, à 1,23, ce qui représentait une économie de 200 € pour un séjour de 2 semaines. Pour un étudiant, ce n’était pas négligeable", indique Ludovic Damoiseau. Le Brexit a dopé la vente de séjours en Angleterre. "Nous proposons par exemple, un devis autour de 1600-1700 euros pour un séjour d’un mois avec 20 cours par semaine en famille d'accueil, chambre individuelle, demi-pension ou pension complète", précise Ludovic Damoiseau, avant d’ajouter : "Avant le Brexit, le prix aurait été de 2 200€".

Etats-Unis, destination plus coûteuse

Grâce au taux de change, l’Angleterre devenue plus attractive, fait de l’ombre aux autres pays anglophones. "A l’inverse, les Etats-Unis sont classés aujourd’hui parmi les destinations les moins abordables. Le taux de change est à 1,2 alors que pendant des années, nous avons travaillé avec du 1,35 / 1,40", souligne Ludovic Damoiseau. "Pour une formule d’un mois en famille d’accueil à San Francisco avec 20 cours par semaine, la facture s’élève à 2400 €. Le même séjour revenait auparavant à 2 150 €, le dollar et l’économie américaine se portent bien ce moment", note-t-il.

Séjours hors Europe

Si partir de l’autre côté de l’Atlantique vous titille, rassurez-vous, le Canada répondra à vos attentes. "La palme revient en effet à ce pays où le taux de change est généralement stable et le prix extra !", s’enthousiasme Ludovic Damoiseau. Vous avez la possibilité de suivre des cours de langue, préparer des examens, suivre une formation adaptée puis travailler sur place, toutes les possibilités s’offrent à vous." A titre d’exemple, pour la même formule que précédemment avec 20 cours par semaine sur un mois, en famille d’accueil, chambre individuelle ou pension complète à Toronto, le prix de 1500 € reste imbattable. Parmi les destinations hors Europe, on compte également l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Le même voyage à Sydney coûte moins de 2000 €. Si vous êtes un peu réactif, vous pouvez bloquer le prix. Les conditions d’annulation étant très flexibles, nous vous conseillons de valider un tarif pour éviter que le coût du séjour linguistique n’augmente par la suite.

La zone euro

Pour ceux qui préfèrent les destinations européennes, l’Allemagne, l’Espagne ou encore l’Irlande et Malte permettent de partir sans avoir à se soucier des taux de change. "La devise est la même qu’en France, puisque c’est la zone euro et pour certains, rester en Europe a un côté rassurant", poursuit Ludovic Damoiseau. "Parmi les destinations anglophones, pensez à l’Irlande, qui propose elle, le meilleur rapport qualité/prix" conclut-il.

Plus de 35 ans après que Sherwood Forest, le premier centre de villégiature de l’entreprise au Royaume-Uni, a ouvert ses portes dans le Nottinghamshire, Center Parcs est devenu une obsession locale. Découvrez dans ce spot publicitaire en V.O. l’ampleur du concept de Center Parcs, avec ses infrastructures impressionnantes et ses nombreuses activités, et testez votre compréhension.

Testez vos connaissances en choisissant les bons modaux dans cette courte conversation.

Simone Biles est revenue à la compétition cette année après une interruption de deux ans pour se concentrer sur sa santé mentale. Redécouvrez des extraits des performances les plus marquantes de la gymnaste tout au long de sa carrière dans ce reportage vidéo en V.O. et testez votre compréhension.

Under recent government plans, homeowners in England will be required to obtain planning permission before converting properties into short-term holiday lets in tourist hotspots. This could help out residents struggling to find suitable housing in popular holiday areas, such as Cornwall, the Lake District and Norfolk. Separately, the culture department has also ordered a consultation over plans to introduce a registration scheme for short-term lets. Airbnb said it welcomed the scheme but warned that any changes to the planning system would need to “strike a balance between protecting housing and supporting everyday families who let their space to help afford their home and keep pace with rising living costs”.

Le Super Bowl aura lieu le 13 février prochain aux États-Unis. Que s'y passera-t-il ? Mettez-vous à la page en révisant le futur !

Voici notre quiz sur les onomatopées...

Relisez l’article scientifique (p.33-34 du n°878) et testez votre compréhension

The, a ou Ø ? Pour chaque phrase suivante, retrouvez les déterminants appropriés

À 87 ans, le réalisateur britannique Ken Loach présente son dernier hommage à la solidarité ouvrière. Son dévouement aux causes sociales et sa volonté de montrer la réalité souvent dure de la vie des plus précaires se confirment dans ce 16e film, The Old Oak. Alors que leur rencontre semble improbable, TJ, propriétaire d’un pub menacé de fermeture, et la jeune Syrienne curieuse, Yara, se lient d’amitié. Peuvent-ils trouver un moyen pour que les deux communautés s'entraident ? Découvrez la bande-annonce en V.O. et testez votre compréhension.

Relisez l’article "enjeux" sur l'essor de la "surveillance de luxe" (p.14-15 du n°880) et testez votre compréhension !

"to get" est un verbe simplissime et pourtant il fait l’objet de maintes complications ! "Get" est votre joker – à utiliser pour chaque changement d’état ou transformation.

Vous souhaitez certifier votre niveau de langue en anglais et vous hésitez entre le passage de l’un ou l’autre de ces deux tests : TOEIC® ou TOEFL. Leurs modes de fonctionnement sont très différents, il en va de même pour les objectifs à atteindre.

GlobalExam, la première plateforme de préparation en ligne aux tests de langues, vous en dit plus sur ces certifications. TOEIC®, TOEFL : comment choisir ?

Des objectifs différents

Ces deux tests justifient le niveau d’anglais de personnes non anglophones. Pourtant, ils mesurent des compétences bien différentes. Le TOEIC® est une épreuve qui évalue votre niveau d’anglais professionnel. Il est conçu pour répondre aux exigences des entreprises et du monde des affaires. Passer le TOEIC®, c’est montrer vos aptitudes à comprendre un milieu professionnel anglophone.

Le TOEFL est quant à lui un test académique pensé pour l’enseignement supérieur. En passant le TOEFL, vous justifiez de votre capacité à suivre une formation dispensée en anglais.

La typologie des candidats est donc elle aussi différente : le TOEFL vise majoritairement les étudiants contrairement au TOEIC® qui vise plutôt les professionnels.

Des formats différents

Le TOEFL est l’une des épreuves les plus longues. Composée de quatre parties, elle dure environ 4 heures : compréhension écrite, compréhension orale, expression écrite et expression orale. Le TOEFL mesure l’ensemble des compétences, ce qui en fait un test très apprécié des universités et des écoles supérieures.

Le TOEIC® est plus court. Il ne teste que la compréhension orale et écrite et se découpe donc en deux parties. Sa durée est de 2 heures.

Structure des scores

Le TOEFL est évalué sur 120 points. Chacune des quatre parties est notée sur 30 points. Votre score est considéré comme bon lorsqu’il a dépassé les 85 points.

Le TOEIC® est évalué sur 990 points. Les deux parties sont donc notées chacune sur 495 points. Le score est satisfaisant lorsque vous avez dépassé les 800 points.

Des contenus différents

Les épreuves du TOEIC® et du TOEFL sont présentées sous forme de QCM. La différence se fait sur le support de passage du test : pour le TOEFL, votre test se déroulera sur un ordinateur, contrairement au TOEIC® qui propose une version papier.

Pour le TOEFL, les questions posées porteront sur la vie à l’université et les situations courantes de la vie d’un étudiant. Il faut alors être préparé à retrouver des mots appartenant aux champs lexicaux de l’école et du monde universitaire.

Quant au TOEIC®, vous serez amenés à répondre sur des sujets liés la vie en entreprise et sur des situations courantes rencontrées dans le monde des affaires. Vous aurez donc à assimiler un vocabulaire lié aux ventes, aux contrats, aux finances et aux communications...

Deux examens différents pour des candidats différents

Dans la majorité des cas, s’inscrire à l’un de ces deux tests est un passage obligé pour les futurs candidats (vous souhaitez par exemple intégrer une université qui vous demande une certification de votre niveau d’anglais avec l’exigence d’un score minimum atteint pour que vous puissiez être admissible). Si vous hésitez entre choisir le TOEFL ou le TOEIC®, il est important de vous poser la bonne question : pourquoi souhaitez-vous passer la certification : pour renforcer votre employabilité ou vous permettre d’ouvrir les portes d’une école supérieure ou une université ?

Deux tests de langue, une plateforme de préparation

GlobalExam vous accompagne dans votre préparation aux tests de langue. Que ce soit pour le TOEIC® ou le TOEFL, du contenu adapté aux spécificités des examens est disponible : des tests blancs, des dizaines d’heures d’entraînements, des milliers d’exercices... Une bonne méthode pour vous entraîner dans les conditions de l’examen, réduire votre stress et améliorer la gestion de votre temps le JOUR J.

After more than 100 movies in over 45 years of acting, Tom Hanks is now drawing on his experience to craft a story in a very different medium - a novel. Titled The Making of Another Major Motion Picture Masterpiece, it tells the story of a comic strip that becomes a multimillion dollar superhero movie. The book explores every step in the process of making a movie, from a difficult leading actor, to eccentric writers and countless behind-the-scenes workers. Ultimately, the two-time Oscar winner hopes to challenge people’s perceptions about how movies are made. So far, critics’ verdicts of the book have been lukewarm. But Tom Hanks says his "day job as a movie star" means he can "handle" any criticism.

La ville de Toronto serait-elle devenue la nouvelle Silicon Valley ? Apple, Google, Amazon... tous les géants de la tech se tournent maintenant vers la métropole canadienne pour ouvrir de nouveaux locaux et développer leurs équipes. Après des années d'investissement de la part des universités locales, des agences gouvernementales et des chefs d'entreprise, et grâce aux politiques pro-immigration du pays, Toronto est aujourd'hui le troisième pôle technologique d'Amérique du Nord. En Février, Microsoft a ouvert un nouveau siège canadien dans le centre-ville de Toronto. Découvrez ce qui a motivé ce choix dans ce reportage vidéo en V.O. et testez votre compréhension.

Relisez l’article à la une sur la ville de Toronto (p.8-9 du n°879) et testez votre compréhension !

5 termes clés pour se préparer au jour du scrutin

Une pincée de sel, une gousse d’ail… Saurez-vous associer les ingrédients à leur mesure ?

Le séjour à l’étranger, meilleur moyen de perfectionner son niveau de langue ? Assurément ! Les options pour vivre cette expérience inédite sont cependant multiples et évoluent d’année en année. Jobs, stages... Voici les nouvelles tendances du marché.

Les destinations

"La Grande-Bretagne est encore la meilleure option !". Selon Magali Toureille, responsable France ESL, l’outre-Manche reste la grande favorite des jeunes désireux de partir à l’étranger. La destination offre en effet tous les avantages : pas de visa nécessaire – du moins pour le moment -, des stages et jobs variés adaptés à toutes sortes de profils, une durée de séjour à la carte comprise en moyenne entre quatre et douze semaines... "C’est un échange de bons procédés, confirme Adeline Prévost, Responsable Communication & Qualité EF Education First. Les jobs par exemple, principalement dans la restauration, l’hôtellerie et le tourisme permettent une certaine flexibilité d’engagement vis-à-vis de l’employeur et d’adapter la durée du séjour en fonction des besoins du stagiaire".

Cours le matin, travail ou stage l’après-midi, hébergement en famille d’accueil... Le package proposé par de nombreuses agences linguistiques permet également de financer tout ou partie de votre séjour tout en fréquentant le monde anglo-saxon afin d’améliorer votre niveau de langue, sur une période de vacances scolaires ou encore pendant une année de césure dans les études. Les stations balnéaires, Brighton, Bournemouth et le Grand Londres figurent en haut de la liste des villes plébiscitées.

Parmi les destinations européennes populaires, Malte, la Hollande ou encore l’Italie tirent leur épingle du jeu.

A l’international, si le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande plaisent toujours autant, Xavier Gonzalez del Valle, Président de Jobs and Internships Abroad observe depuis quelques années une curiosité accrue pour le reste du monde. "Il y a dix ans, les Etats-Unis étaient très demandés. Aujourd’hui, le rêve américain existe toujours mais le centre de gravité se déplace. Les demandes pour l’Asie, la Chine, l’Inde, la Thaïlande ou encore le Brésil et la Russie se développent. Dubaï est l’eldorado".

Stages : les filières et entreprises

Sans surprise, le désir de mobilité s’intègre très bien dans l’univers start-up. Flexibles, dynamiques, désireux de créer leur propre entreprise dans le futur, "les stagiaires s’imaginent parcourir le monde en sac à dos tout en travaillant pour une start-up. Mobilité, travail à distance... Ils ne s’imaginent plus dans l’entreprise au sens géographique du terme et n’ont plus de problèmes à changer d’environnement professionnel. Du côté des entreprises, il n’est pas rare que les employeurs demandent aux étudiants stagiaires d’apporter leur propre ordinateur pour travailler", précise Xavier Gonzalez del Valle.

Parmi les filières les plus empruntées, le secteur du marketing, de l’ingénierie, des médias et de la communication, le web design, les ressources humaines sont appréciés. Le secteur du luxe est également très populaire, tout comme la finance. Sensibles à la qualité, ces domaines requièrent une très bonne maîtrise de l’anglais. "La qualité du stage dépend de votre niveau. Il faut être capable de communiquer avec les collègues", affirme Charlotte Deroubaix, chargée de promotion Séjours Linguistiques chez Vivalangues. L’idéal pour commencer ? Un niveau B1. Afin de vous préparer, de nombreuses agences proposent en amont de votre stage, une session de cours de langue sur place.

Des solutions pour toutes les bourses

Avis aux petits budgets ! Que vous partiez en job ou en stage à l’étranger, ne vous attendez pas à de grosses rémunérations. "Pour ce qui est des stages, il faut bien faire la différence entre la France, qui possède une législation spécifique et les autres pays. La plupart n’imposent pas de verser de salaire à leurs stagiaires", explique Xavier Gonzalez del Valle.

Passer par une agence linguistique afin de vous accompagner dans votre aventure demande toutefois un effort financier. Avec Nacel, comptez entre 2200 et 2500 euros pour quatre semaines de cours en Australie, avec hébergement et pack Working Holiday, un pack assistance pour aider les étudiants à trouver un travail d’appoint. L’agence WEP propose aussi ce type de service.

Programme qui ne fane pas, le Visa Vacances Travail (Working Holiday Visa), à la croisée du permis de travail et du visa touristique, est idéal pour les jeunes qui souhaitent partir à l’aventure et découvrir l’Australie ou encore le Canada pendant un an, en travaillant sur place pour financer le voyage. Les conditions ? Avoir entre 18 et 30 ans pour l’Australie, jusqu’à 35 ans au Canada et disposer d’un minimum de ressources pour être financièrement indépendant dès l’arrivée.

Enfin, pour ceux qui en ont les moyens, le volontariat dans l’humanitaire offre une expérience unique et la possibilité de voir du pays tout en pratiquant l’anglais. Chez CLC, le programme "Travail Bénévole" propose par exemple des placements dans différents secteurs, tels que la protection de l’environnement, les soins aux animaux, le service communautaire, etc. Avec ESL, plusieurs destinations sont à la carte, Panama, Inde, Argentine ou encore Afrique du Sud en tête. De quoi voir du pays tout en ayant le choix.

A Texas grand jury has determined that rapper Travis Scott was not criminally responsible for the crowd crush that killed 10 people and injured thousands more at his 2021 Astroworld music festival. The Harris County grand jury declined criminal charges against Scott and five other people related to the fan deaths. Hundreds of lawsuits have been filed accusing Scott and the concert’s organiser, Live Nation, of negligence. Scott’s attorney Kent Schaffer said Scott and his actions have been inaccurately portrayed, adding that the rapper stopped the show three times and was unaware of the events as they unfolded.

L’histoire parait irréelle : un groupe d’amateurs basé à Tampa a remporté un concours organisé par le gouvernement, et a été sélectionné pour fabriquer le satellite qui accompagnera la fusée de la mission Artemis I, la première d’un nouveau programme de la NASA de plusieurs années, ayant pour objectif de renvoyer des astronautes sur la Lune. Le CubeSat sera largué près de la Lune et se propulsera ensuite jusqu’à 28 millions de kilomètres plus loin. Pendant tout ce temps, il transmettra des informations à la Terre. Naveen Vetcha, responsable du défi Cube Quest, présente Team Miles, les gagnants du concours. Ensemble, le groupe a conçu, construit et testé ce petit satellite offrant de nouvelles possibilités de communication et de propulsion depuis les profondeurs de l’espace. Découvrez le reportage vidéo en V.O. et testez votre compréhension.

Répondez à ces questions sur l'histoire des présidentielles américaines

La "saison des phoques" a officiellement commencé en Nouvelle-Zélande. De mai à décembre, le pays fait face à un afflux de ces mammifères marins, s’aventurant dans des lieux plutôt insolites... Découvrez dans ce reportage vidéo en V.O. les réactions des habitants lorsqu’un phoque vagabond a semé le chaos à Auckland, se jetant sur les routes, investissant les jardins et allant même jusqu'à visiter le KFC de la ville, et testez votre compréhension.

Parmi les tests d’évaluation de l’anglais, le test TOEIC® fait partie des certifications incontournables. Au total, ce sont 7 millions de tests TOEIC corrigés chaque année dans 160 pays.

Dans quel contexte est-il recommandé ?

Laurence Carlinet : D’abord, ce test est reconnu aussi bien dans le monde universitaire que dans les entreprises. Il est par exemple très souvent exigé dans les écoles d’ingénieurs françaises qui demandent toutes un niveau d’anglais certifié pour avoir le diplôme. Par ailleurs, il ne suffit plus aujourd’hui d’avoir un bon niveau d’anglais pour décrocher un poste ou entrer dans une école, mais il faut le prouver. Le test TOEIC sert à garantir un niveau, ce n’est pas un diplôme, mais une certification qui atteste d’un niveau de langue au moment du passage du test. Quel que soit le contexte, carrière professionnelle ou études, le test TOEIC atteste donc d’un score reconnu dans le monde entier, c’est pourquoi il n’est valable que deux ans !

Quel est le niveau d’anglais des Français en moyenne ?

L.C. : Le niveau des Français serait entre A2 et B1, qui est un niveau intermédiaire en se basant sur le référentiel du cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL). Avec un niveau B1 on peut se débrouiller dans la plupart des situations rencontrées en voyage dans un pays où l’anglais est parlé et la bonne nouvelle, c’est qu’en travaillant, on peut s’améliorer à tout âge !

Quels sont les outils mis à disposition des candidats pour préparer le test TOEIC ?

L.C. : Il est déjà recommandé de se familiariser avec les 7 parties du test qui dure deux heures. Il faut compter environ 8 semaines pour une préparation sérieuse. Pour faire un test gratuit, le site www.yourenglishtest.com donne accès à un test blanc complet qui donnera une échelle de score. Pour les contenus officiels avec corrigés, il faut se référer aux ouvrages de préparation des éditions Hachette qui incluent tous les changements apportés au nouveau test TOEIC entré en vigueur en juin 2018. Le livre intitulé La Bible officielle du test TOEIC présente des contenus authentiques, préparés en collaboration avec ETS, les créateurs du test. Cet ouvrage comprend des tests réels Listening and Reading, des corrigés, des fichiers audios, des parties de compréhension orale téléchargeables en MP3, des fiches de vocabulaire, des traductions, etc. Autre outil utile, le TOEIC Official Learning and Preparation Course, que l’on retrouve sur le site d’ETS Global avec 90h de contenus sur une durée de 12 mois. Et enfin, la nouvelle application Digischool (Super Prépa for the TOEIC test) qui permet de préparer le test TOEIC Listening and Reading. Cette application est disponible sur IOS et Android et propose 400 questions gratuites. La version premium est à 10 €/ mois et donne accès à deux tests blancs pour se mettre en condition réelle et à 600 questions supplémentaires.

Le test TOEIC fait partie des fortes demandes de formation parmi ceux qui utilisent leur compte personnel de formation (CPF). Est-ce que le passage des heures en euros du CPF changera les habitudes ?

L.C. : Depuis le 1er janvier 2019, les heures accumulées sur votre CPF sont en effet transformées automatiquement en euros. Chaque heure de formation équivaut à la somme de 15€. Jusqu’ici, ces heures n’étaient pas monétarisées, mais accumulées pour devenir des heures possibles de formation. Aujourd’hui, on peut les mobiliser comme on veut, en suivant un cursus de formation avec une certification à la clé. Il faut se rendre sur le site moncompteformation.gouv.fr, créer un compte et reporter, si cela n’a pas été fait, les heures de DIF sur le CPF. Vous avez jusqu’au 31 décembre 2020 pour mobiliser les heures DIF converties en euros, ensuite ces heures seront perdues.

Quelles formations est-il possible de suivre avec le CPF ?

L.C. : Toutes les formations répertoriées au sein du Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) sont éligibles au CPF. C’est le cas de tous les tests TOEIC qui sont inscrits dans le « Répertoire Spécifique » garant d’une certification professionnelle éligible au CPF.

Que recommandez-vous pour améliorer l’anglais ?

L.C. : Ce qui fonctionne, c’est d’être le plus possible en contact avec la langue comme, par exemple, lire les paroles des chansons en anglais et les apprendre par cœur, écouter la radio (ex : www.bbc.co.uk), regarder des films et des séries en version originale. Chaque jour, vous pouvez vous fixer un objectif à court-terme, apprendre quelques mots de vocabulaire, revoir du lexique. Il faut imaginer un calendrier précis pour gérer son temps avant l’examen. Plus vous pratiquez, écoutez, lisez de l’anglais, plus vous serez à l’aise pour le test TOEIC.

Article réalisé avec ETS Global

Space invaders, Pac-man, Mario... Connaissez-vous les classiques qui ont marqué l’âge d’or des jeux d’arcade ? Découvrez le reportage vidéo en V.O. et testez votre compréhension.

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Sport, nutrition, travail... Les méthodes de coaching ont fleuri ces dernières années et nous sommes de plus en plus nombreux à y faire appel. Pourquoi ne pas les utiliser pour s’améliorer en anglais ? C’est le pari fait il y a six ans par Lauriane Legrand, avec sa méthode du Marathon des langues, mélangeant développement personnel et neurosciences. Une formule qui a déjà conquis plus de 2 300 apprenants et est désormais expliquée dans un ouvrage ludique et boostant : Parlez anglais en 6 mois pas en 10 ans ! (Éditions Eyrolles)

Oser parler sans avoir peur du regard de l’autre, oser commettre des erreurs : voici l’objectif recherché par Lauriane Legrand et son équipe du Marathon des langues. Comme elle il y a quelques années, beaucoup d’adultes se disent bloqués à l’oral. Et comme pour elle, l’apprentissage de l’anglais dans le système scolaire a débouché sur une sensation d’échec. "90% de nos élèves sont des femmes", observe d’ailleurs l’autrice : "elles ont probablement moins confiance en elles, elles reconnaissent plus facilement leurs lacunes et elles ont davantage besoin de grandir professionnellement". Toutes gardent malheureusement un mauvais souvenir des années passées sur les bancs de l’école, notamment lorsqu’elles tremblaient à l’idée de parler devant toute la classe.

Trust in yourself!

La confiance en soi est la pièce maîtresse du puzzle que cette méthode cherche à reconstituer. Pour Lauriane Legrand, "mieux on se connaît, plus il est facile de créer sa propre routine". Et c’est précisément sur cette régularité que mise le Marathon des langues. La métaphore de la course n’est pas due au hasard : "en six mois, on peut parfaitement se préparer à courir 42 kilomètres, c’est une question d’organisation. Mieux vaut alors réserver 30 minutes chaque jour plutôt que 3 heures par semaine et les mettre à profit pour adopter toute une batterie de bons réflexes. Par exemple, il est judicieux d’apprendre trois mots d’une même famille plutôt qu’un, afin d’élargir plus efficacement son champ lexical."

L’autrice livre une quantité de conseils faciles à mettre en pratique au quotidien. Il est très efficace par exemple de changer la langue de son téléphone et de ses réseaux sociaux ou encore de regarder des contenus audiovisuels sous-titrés en anglais. Il est aussi préférable d’utiliser un dictionnaire monolingue. Tous ces bons réflexes sont ensuite stimulés par un coaching adapté au profil de chacun, mais en jouant sur le collectif. La communauté joue en effet un rôle essentiel grâce aux Bubble teams qui proposent de nombreux défis et jeux, créant une saine émulation. Le tout enrichi désormais de master classes d’experts.

Make it stronger!

"Il faut écouter le fonctionnement personnel de son cerveau", recommande Lauriane Legrand, "et c’est justement ce qu’il manque à l’école. On sait bien écrire, on gère la grammaire mais l’oral c’est tout autre chose". Pour inverser cette dynamique, il faut notamment nourrir une zone du cerveau appelée SAR (système d’activation réticulaire), "qui permet de mieux réussir en créant notre futur par nos pensées". C’est là que la confiance en soi joue un rôle clé car elle alimente un système de croyances positif qui permet d’atteindre ses objectifs. Cette quête de confiance passe alors par la recherche de mentors et de personnes bienveillantes et motivantes pour progresser, sans oublier les bienfaits du triptyque sport-sommeil-alimentation.

Lauriane Legrand insiste aussi sur l’importance de la mémoire, souvent vue comme un obstacle infranchissable lorsqu’on la croit défaillante. Visuelle, auditive ou kinesthésique, à chacun son style. Le tout est de bien identifier la vôtre. Les profils kinesthésiques préférant par exemple le concret et l’expérience sensorielle, ils seront probablement davantage réceptifs au sketchnoting qui mêle prises de note et dessin.

En somme, via cette approche holistique et bienveillante, Parlez anglais en 6 mois pas en 10 ans atteint son but : motiver les plus récalcitrants qui pensaient "avoir tout essayé" sans succès. La méthode s’adresse à des apprenants assidus et réceptifs au coaching. La clé est donc dans l’assemblage de ce puzzle de l’apprentissage.

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Relisez l’article sur le roi Charles III (p.8 du n°878) et testez votre compréhension

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