Le mois dernier, en Afrique du Sud, un vote au Parlement ayant valeur de test sur l'unité de l'ANC, le parti présidentiel, a eu lieu. Jacob Zuma, le chef de l'Etat, bien que mêlé à de nombreux scandales, a survécu à cette nouvelle motion de défiance. Si celle-ci avait été votée, il aurait dû démissionner. L'hebdomadaire britannique The Economist estime que cela aurait été une bonne chose.