Après l'échec des discussions avec les libéraux et les Verts sur la formation d'une coalition gouvernementale "jamaïcaine", Merkel se tourne à nouveau vers les sociaux-démocrates. Martin Shulz, qui avait d'abord exclu toute participation à une nouvelle grande coalition, accepte maintenant de s'asseoir à la table des négociations. Dans un commentaire paru dans le Zeit, Monika Pilath explique pourquoi elle juge ce revirement peu opportun.