Depuis plusieurs décennies, l’Allemagne ne lésine pas sur les musées, la littérature et autre mémoriaux documentant largement l’holocauste. Mais ce vaste travail de mémoire s’arrête souvent au seuil des familles. Les souvenirs y sont souvent déformés et embellis. Un oubli systématique et dangereux, dénonce le psychologue social Jonas Rees. Découvrez le reportage vidéo sur le procès d'un nazi centenaire, ancien gardien du camp de concentration de Sachsenhausen, qui s'est ouvert début octobre, et testez votre compréhension.